Nous sommes bien conscients que cette année n’a pas dû être évidente pour tout le monde et qu’elle a été pleine de challenges et de remises en question. Malgré la rudesse des 12 derniers mois, de bonnes choses sont quand même arrivées.
Chez Greenz, nous pensons qu’il est primordial de toujours rester positif dans n’importe quelle situation, aussi dure soit-elle. C’est donc sur une note d’optimisme et de bonne humeur que nous souhaitons entamer cette nouvelle année avec vous.
Dans le but d’atteindre cet objectif nous avons concocté une liste d’évènements arrivés en 2020 qui saura vous donner la pêche et vous faire sourire.
La terre n’a jamais été aussi verte depuis 20 ans
Pendant que nous humains souffrions des effets négatifs du confinement et d’une pandémie globale, la terre elle en a profité pour prendre un nouveau souffle.
Selon une étude de la NASA publiée en février de l’année dernière, la terre est désormais 5% plus verte que 2 décennies auparavant. Les scientifiques avaient déjà observé les effets positifs du confinement sur les émissions de CO2, mais cette nouvelle étude nous montre que des initiatives pour une meilleure planète sont et étaient déjà en cours.
Cette réussite est principalement le fruit des nombreux programmes de développement agricultural mis en place ces dernières années dans le but d’inciter les agriculteurs à réduire voir à complètement cesser l’utilisation de pesticides chimiques.
La Chine et l’Inde, qui a eu 2 contiennent quasiment 10% de la superficie forestière du monde ont été les pionniers pour ces avancés. En effet, encore une fois selon la NASA, depuis l’année 2000, la superficie forestière dans le monde entier aurait augmenté de plus de 5 millions de km2, soit une extension similaire a la taille de la forêt amazonienne.
Le monde animal voit un avenir radieux
De même que pour la planète, les animaux nous remercient également de nous être enfermés pendant plusieurs mois. Durant cette période, nous avons pu observer comment la nature reprenait sa digne place dans notre monde. Les oiseaux chantaient enfin sans être gênés par le bruit des voitures, et certains animaux comme les sangliers ont pu être observés dans plusieurs grandes villes européennes.
Dans certains pays, notamment les Etats-Unis ou le trafic routier se sont vu réduit de 73%, les collisions fatales avec des animaux, notamment les cerfs, ont diminué de 58% durant cette période. C’était comme si tout à coup, l’homme s’était rendu compte de son impact sur le règne animal et de l’importance de le protéger. Le coronavirus, qui aurait vu son apparition dans des marchés d’animaux exotiques à Wuhan, a fait que la Chine porte son intérêt sur le sujet.
Celle-ci a depuis passé une série de lois visant à criminaliser le trafic d’animaux exotiques ainsi que la consommation de leurs chairs dans des buts culinaires. Elle a également retiré le pangolin (le mammifère le plus trafiqué de la planète) de la liste des ingrédients de médecine traditionnelle chinoise. Le trafic de pangolin est désormais durement sanctionné dans le pays par de lourdes peines de prison.
La baleine est un autre animal qui peut aussi se montrer optimiste par rapport à son futur. Chassés jusqu’à sa quasi-extinction dans le milieu du 20 siècles, sa population affiche aujourd’hui des résultats plus que positifs. En effets, depuis 1982 une grande partie des pays du monde s’est compromis à arrêter de chasser ce cétacé.
Les résultats sont flagrants, les scientifiques observent beaucoup plus de baleine que par le passé (ce qui signifie que leur nombre augmente progressivement), au point ou certaines espèces ont presque récupéré leur population originale d’avant le début la pèche en masse.
De plus, cette année 14 pays se sont compromis à gérer de manière durable à 100% leurs eaux côtières. Ces nations ont décidé de combattre la surpêche et de réduire la pollution dans ces zones. À eux seuls, ces 14 participants représentent le 40% des zones côtières du monde.
Pour conclure cet aparté dédié aux animaux, la dernière bonne nouvelle concernant ce sujet est la réintroduction du diable de Tasmanie en Australie. Ce marsupial avait quasiment disparu de la surface de la terre du entre autres aux braconnages et à un cancer qui a décimé l’espèce. En 2020, et pour la première fois depuis 3000 ans, l’animal a été réintroduit sur le continent Australien, sa terre ancestrale.
Une nouvelle conscience verte est apparue en force
En effet pour la première fois depuis leur création, 10% de l’électricité globalement produite dans le monde en 2020 était de source solaire ou éolien, en plus de ça, la production d’électricité générée par ces sources a augmenté de quasiment 14% durant la première moitié de cette année-là. Pour les Etats-Unis, 2020 sera l’année record ou le plus de panneaux solaires et d’éolienne auront été installés et mis en service.
Une véritable conscience pour la planète et l’environnement semble être apparue en cette année de pandémie. Certains gros exportateurs de pétrole, comme le Danemark qui est le premier producteur européen, se sont engagés à réduire et à arrêter complètement dans le futur leurs productions d’énergies sales. Même la Chine, qui est un, voir le plus grand pollueur de la planète, a pris la décision d’arrêter d’importer du charbon en provenance d’Australie, le premier exportateur mondial de ce matériau.
Une autre excellente nouvelle est la propagation des véhicules électriques, qui aujourd’hui sont au nombre de 7 millions dans le monde. Certains pays comme l’Angleterre se sont notamment compromis à interdire et à stopper la vente de véhicules à essence et à diesel dès 2030. Volkswagen a également pris la décision d’investir plus de 85 millions de dollars dans la recherche et le développement de véhicules propres.
L’impact de nos activités sur l’environnement est aujourd’hui omniprésent et s’intègre dans des milieux très divers. Certaines marques de vêtements ont notamment commencé à indiquer l’empreinte carbone de leurs produits sur leurs étiquettes.
Même à Wall Street et dans le milieu banquier, les investisseurs commencent à faire attention à leur image et donc auront tendance à moins financer des projets mauvais pour la planète, de peur des répercutions médiatiques.
La dernière bonne nouvelle de cette année, et peut-être la plus importante, est que malgré les temps durs traversés, Greenz reste encore et toujours à vos côtés. Nous espérons vous avoir un peu remonté le moral et somme heureux d’entamer une nouvelle année avec vous.